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Les articles de la rubrique 'Revue de presse Or'

29

Jan

Mon Avis sur la VeraCarte

La VeraCarte d’AuCoffre

Je recois beaucoup de  mail pour me demander mon avis sur le nouveau produit sorti par Aucoffre : la veracarte.

Le mieux est d’ouvrir ici la discussion avec les propos d’un membre de la société aucoffre qui a réagit sur un forum sur l’or bien connu ……

“Je suis un représentant de la société AuCOFFRE.com, je me permets d’intervenir sur ce forum pour rétablir certains propos. Effectivement, beaucoup de questions et de réponses sur la VeraCarte nécessitent des précisions ou des corrections. Dans un premier temps, soyons bien d’accord, ce post n’a pas vocation à faire de publicité ou du commerce mais simplement à donner les bonnes informations pour que vous puissiez continuer votre débat sur la VeraCarte avec des éléments justes et non pas des hypothèses.

La VeraCarte est une carte de paiement adossé sur de l’or 100% alloué, c’est-à-dire que le stock d’or n’appartient pas à AuCOFFRE.com mais aux membres qui effectuent des dépôts sur la VeraCarte. Lorsqu’un dépôt est réalisé sur un compte VeraCarte, la garantie en or est directement acheté donc le compte VeraCarte est garanti à 100% en Or Physique. Si AuCOFFRE.com faisait faillite, la contrepartie de chaque compte serait restituée au déposant.

Les tarifs de la VeraCarte

Abonnement : 110€/an soit moins de 10€/mois

CREDIT DU COMPTE
1 gramme Vera Valor = spot Londres + 3% (prime)
Créditer 1 gramme sur la VeraCarte = 1 gramme Vera Valor + 3% (frais de change Euro/Or).

UTILISATION DE LA CARTE
Paiement avec la VeraCarte en zone euro : Gratuit, pas de frais
Paiement avec la VeraCarte en zone hors euro : Gratuit, pas de frais de change supplémentaire
Retrait : 5€/retrait

Les 3% de frais de change sont prélevés uniquement au moment du crédit de la carte pour éviter les mauvaises surprises et être le plus transparent possible. Il n’y a aucun frais de change lors de l’utilisation de la carte.

La Garantie en Or Physique et non pas de l’or papier

« Où on est véritablement sûr et certain de savoir ce qu’on possède ? »

Sur la notion de garantie en or physique, nous avons des audits réguliers dans nos coffres, effectués par un cabinet extérieur pour garantir sa réelle existence. De plus, quelques-uns de nos membres souhaitent mettre en place une association de membres AuCOFFRE.com pour auditer notre stock d’or. Pour information nous adorons ce type d’initiative et nous les soutenons à 100% dans leur démarche.

Intérêt de la VeraCarte versus de l’or conservé en coffres

« Je ne vois pas l’intérêt profond du système… La carte coûte aussi cher que 3 à 4 locations de coffre-fort (pour une valeur <= 30-40k€) ».

Contrairement à l’or que vous conservez dans un coffre loué, vous pouvez le monétiser instantanément avec votre VeraCarte, simplement en tapant dans un code secret à 4 chiffres dans un magasin.
En revanche, pour disposer de votre or conservé dans un coffre loué, vous allez devoir :

– Aller le chercher en coffres
– Le transporter jusqu’à un bureau de change
– Le vendre au meilleur prix
– En règle générale, vous repartez avec un chèque ou un virement
– Attendre le délai bancaire pour percevoir l’argent sur son compte bancaire

Avec la VeraCarte, la conversion de votre or en euro est instantanée.

Fiscalité appliquée sur la VeraCarte

Pour parler fiscalité de l’or il faut commencer dans l’ordre en distinguant la fiscalité à l’achat – qui s’applique à l’or d’investissement – de la fiscalité à la revente – qui s’applique aux métaux précieux et aux biens meubles. Cela reste de l’or, mais juridiquement, la nuance a son importance.

• Fiscalité à l’achat

La Vera Valor est considérée comme or d’investissement répondant à la définition de l’administration fiscale ci-dessous :
« Est considéré comme or d’investissement : a. L’or sous la forme d’une barre, d’un lingot ou d’une plaquette d’un poids supérieur à un gramme et dont la pureté est égale ou supérieure à 995 millièmes, représenté ou non par des titres ;… »
La Vera Valor est donc exonérée de TVA à l’achat.

Source : Code Général des Impôts – Article 298 sexdecies A et la Directive européenne 77/388/CEE

• Fiscalité à la revente

« Les métaux précieux : il s’agit, en pratique, des articles suivants :
– or (y compris l’or platiné) ;
– platine (à l’exclusion du palladium, du rhodium, de l’iridium, de l’osmium et du ruthénium) ;
– argent (y compris l’argent doré ou vermeil et l’argent platiné) ;
– déchets et débris de métaux précieux ou de plaqué ou doublé de métaux précieux (y compris les objets destinés à la fonte ; les autres objets en métaux précieux font partie des bijoux;
– monnaies d’or et d’argent postérieures à 1800. Les autres monnaies d’or et d’argent sont considérées comme des objets de collection.

Pour l’application de la taxe, ces articles sont à retenir qu’ils soient à l’état natif, à l’état brut (barres, masses, lingots), à l’état de produits semi-ouvrés (feuilles, poudre, plaques, fils, tubes), ou à l’état de résidus. Les alliages à retenir sont ceux dont le métal précieux représente une part essentielle par rapport aux métaux d’addition. »

La Vera Valor est un objet ouvragé en métaux précieux (étant ni à l’état natif, ni brut, si semi-ouvré, ni de résidus) et n’entre pas dans la catégorie des métaux précieux.

« Bijoux et assimilé : il s’agit notamment des articles suivants :

– autres ouvrages en métaux précieux.

Les objets d’or et d’argent travaillés sont classés parmi les bijoux et assimilés, par analogie avec la bijouterie, et ne relèvent donc pas de la catégorie des métaux précieux. Cette règle comporte toutefois une exception : les monnaies d’or et d’argent sont considérées soit comme des métaux précieux lorsqu’elles sont postérieures à 1800, soit comme des objets de collection lorsqu’elles sont antérieures à cette date. »

Selon l’administration fiscale, la Vera Valor est donc considéré comme un ouvrage en métaux précieux (plus précisément un jeton), et entre à ce titre dans la catégorie des biens meubles.

Dans le cadre de la VeraCarte, les onces Vera Valor sont conservées en coffres suisses (hors Union Européenne). La fiscalité à la revente qui s’applique est donc celle des biens meubles dans un Etat tiers à l’Union Européenne : «Lorsque le bien cédé se situe dans un Etat tiers à l’Union Européenne, la plus-value réalisée est imposable de plein droit selon le régime des plus-values sur biens meubles. Les biens meubles, dont le prix de cession est inférieur ou égal à 5 000 € sont exonérés. Ces dispositions s’appliquent, cession par cession, quelle que soit la nature du bien.»

En d’autres termes, au-delà de 5 000 €, le régime de droit commun s’applique. Les plus-values réalisées lors de la cession de Vera Valor sont imposées à 34.50% (taux forfaitaire de 19% + 15.50% de prélèvements sociaux sur les revenus du patrimoine et les produits de placements) avec un abattement de 10% au-delà de la 2ème année de détention, et une exonération totale au-delà de la 12ème année de détention. Pour toutes les cessions inférieures à 5 000€, les plus-values réalisées sont exonérées.

Source : Code Général des Impôts – Article 150 U à 150 UA, 200A, 150 VC, 150 VI, 150 VJ

Pourquoi la livraison de l’or physique n’est pas possible ?

La VeraCarte n’a pas vocation à livrer de l’or physique. Pour cela, notre plateforme AuCOFFRE.com vous offre ce service, la livraison de votre or pour des pièces localisées en coffres France.”

Voilà une belle presentation de la veravalor.

Et vous quel est votre avis sur cette carte bancaire ?

Publie par Goldy
Ecrit le 29th Jan 2013
7
 
Categorie: Revue de presse Or
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14

Sep

Revenir à l’or ?

Signe des temps : le président de la Banque mondiale a reconnu la place éminente de l’or dans un système monétaire. Plus qu’une piste, une révolution mentale salutaire.

Au printemps, pour se défendre, Greenspan a affirmé dans le New York Times que personne n’avait prévu la crise, que tout le monde s’était trompé, les universitaires, la FED, les organismes de réglementation. Il aurait pu ajouter les autres Banques centrales, les gouvernements, les entreprises, les médias.

Le système de pensée, aveugle à l’arrivée de la crise, constitue un système clos, limité aux héritiers de Keynes et Friedman.

En dépit des catastrophes que ce système clos a engendrées, il est toujours en place et règne en maître. Les idées concurrentes de l’école autrichienne, celles de Jacques Rueff, la référence à la loi de Say et à l’étalon-or, sont ignorées ou méprisées par la pensée établie.

Et pourtant, les dépenses publiques découlant de la pensée de Keynes n’ont rien résolu et débouchent sur l’austérité. La pensée monétariste et une mauvaise compréhension de l’inflation, réduite à la hausse de l’indice des prix de détail et négligeant la hausse des titres ainsi que celle des matières premières, ont produit le désordre monétaire et amené à poser la question de l’or.

L’austérité ne résoudra rien

Le régime de la monnaie papier a autorisé les dépenses keynésiennes et le développement de l’Etat providence financé par la dette. L’inquiétude des prêteurs sur la solvabilité des Etats pose la question de la survie de l’Etat providence. D’où le recours à l’austérité qui impose des souffrances à la population et ne traite que le symptôme, le déficit, sans porter de remède durable aux causes.

Ainsi en France, depuis des décennies, les ministres successifs de la Santé ont produit des réformes toujours de même nature, à savoir un mix de hausse des prélèvements et de réduction des prestations remboursées. A chaque fois, cette politique d’austérité appliquée à la santé fait la preuve de son inefficacité et de son injustice vis-à-vis des plus démunis car les plus fortunés et la nomenklatura sont à l’abri de ses faiblesses.

De plus, presque tous les pays qui sont parvenus à réduire leur déficit ont utilisé une dépréciation de leur monnaie pour faciliter leurs exportations et réduire le poids de la dette.

Au lieu d’une politique d’austérité, le choix de l’assainissement est celui des réformes en profondeur pour traiter les causes. Le principe à mettre en œuvre pour une nouvelle croissance est bien connu, c’est celui de la politique qui consiste à libérer l’offre de toutes ses contraintes fiscales et réglementaires, à soumettre à la compétition ce qui dépend aujourd’hui exclusivement de l’Etat providence mais aussi à cesser de subventionner la dette publique et privée et de fausser le marché par des aides coûteuses aux entreprises (comme les primes à la casse).

Mais il est impossible d’engager ces réformes sans se poser la question de la demande. A quoi bon proposer aux fonctionnaires des primes aux départs volontaires dans un monde de chômeurs ? Cette politique n’est pas possible dans un climat de stagnation, sous le fardeau d’une dette considérable.

La réponse est du côté de la monnaie

Si la monnaie papier a permis la croissance par excès de dette, une croissance saine exige une réforme monétaire. Pour passer à une croissance financée par l’épargne, il faut remettre en cause le système monétaire actuel. En effet, la politique de dévaluations compétitives crée une incertitude sur la valeur de la monnaie et donc sur l’utilité de l’épargne.

C’est ce qui explique l’article du président de la Banque mondiale dans le Financial Times, proposant de prendre la valeur de l’or en considération dans la politique des Banques centrales et observant que dès à présent, au lieu d’être “une relique barbare, l’or est un actif monétaire de réserve”.

Son jugement, qui sort du système clos de pensée, se comprend mieux en observant que la Banque mondiale fait des prêts à long terme et que s’ils devaient être remboursés en monnaie de singe, elle serait conduite à la ruine.

L’étalon-or permettrait aussi de revenir à un équilibre de marché pour l’offre et la demande de monnaie et de crédit et donc aussi, par voie de conséquence, à l’équilibre sur le marché des biens. Les conditions de validité de la loi de Say seraient retrouvées, comme elles l’ont été le plus souvent durant un siècle. Aujourd’hui, l’intervention de la FED, par exemple, fait du marché du crédit un marché administré, en faveur de la dette publique. Le mécanisme du crédit favorise alors une relance keynésienne par l’Etat.

Les propos du président de la Banque mondiale ont été relayés avec force dans le New York Times par James Grant, éditeur d’une lettre respectée à Wall Street et dans le Wall Street Journal par Seth Lipsky, directeur du New York Sun. En France, Philippe Simonnot, après Paul Fabra, a fait référence aux idées de Jacques Rueff, admirablement comprises et défendues par de Gaulle contre l’essentiel de la pensée établie. Le désarroi des Banques centrales et des ministres des Finances est aussi la raison de cette résurgence intellectuelle de l’or.

La solution “étalon-or”

Mais à quel niveau faut-il réévaluer l’or pour que la FED puisse garantir le remboursement en or de tous les dollars ?

Selon que l’on imagine que le tiers de son actif ou la moitié devrait être constitué d’or, il faudrait réévaluer le prix de l’once d’or aux alentours de 2000 $ ou au-delà. Ce qui permettrait à la Banque centrale d’assainir son bilan et de déprécier les créances douteuses dont elle s’est chargée. Dans le même mouvement, cela produirait un allègement du poids de la dette publique et privée et faciliterait la solution du redressement des banques. Pour l’Europe, cela conduirait probablement à se demander à nouveau si l’euro adossé à l’or doit être une monnaie commune et non une monnaie unique.

Jacques Rueff s’est toujours opposé aux politiques de déflation et d’austérité défendant l’assainissement et le retour à une parité fixe qui prenne acte de l’inflation antérieure. C’est un signe des temps que sa pensée soit connue, citée en référence aux Etats-Unis, et pratiquement ignorée en France.

Il a défini les mécanismes monétaires de retour à une croissance saine sans cette perversion de l’austérité imposée aux peuples pour financer les erreurs dont ils ne sont pas responsables. Même les adversaires de l’étalon- or, ou ceux qui lui sont favorables mais ne croient pas à la possibilité d’y revenir, seront obligés de faire référence à ses règles de fonctionnement pour tenter de corriger par une nouvelle croissance le désastre économique et monétaire actuel.

Jacques Raiman est Fondateur-Président d’honneur de l’Institut Turgot. La version originale de ce texte est parue dans Le nouvel économiste daté du 1er décembre sous le titre : “Lettre ouverte à ceux qui cherchent en vain la sortie de la crise”.

Source : Institut Turgot – Tag – Etalon-or

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Publie par Goldy
Ecrit le 14th Sep 2011
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Categorie: Revue de presse Or
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8

Jul

Les pépites d’or

L’or est un métal de couleur dorée qui est reconnu pour sa valeur. On l’utilise pour fabriquer des bijoux mais il sert également dans d’autres procédés médicaux et dans l’industrie électronique. L’or a été découvert pendant la période de la Préhistoire. Plusieurs savants ont essayé de reconstituer sa formule chimique à partir d’autres éléments, mais cette variante n’a pas connu le succès attendu compte tenu de son prix trop élevé par rapport à l’or naturel.

L’or se distingue des autres métaux car il brille facilement quand on le gratte et c’est un élément très résistant. Il se présente en pépites ou en paillettes.

Les pépites d’or, un bien précieux mondial

La pépite d’or est une masse d’or de forme irrégulière. La taille d’une pépite varie considérablement puisqu’elle peut aussi bien se mesurer en millimètre que peser des dizaines de kilos (27,2 kg pour la pépite découverte en Australie en 1980). Elle vaut deux fois plus cher que l’or ordinaire parce qu’il est plus difficile de la trouver et sa vente peut rapporter beaucoup
d’argent. Les pépites se retrouvent dans les rivières ou dans les gisements miniers. Tous les continents ont chacun un réservoir d’or plus ou moins important. L’Afrique du Sud en est le premier producteur avec une production annuelle de 500 tonnes. Le Nevada aux Etats-Unis le suit de près avec 350 tonnes annuelles. Le Canada, la Chine et le Japon sont également des producteurs potentiels. La Russie, l’Indonésie, la Guyane, la Martinique, le Guadeloupe ainsi que d’autres pays d’Afrique comme le Bénin ou la République Démocratique de Congo et d’Amérique du Sud tels que Colombie, Amazonie ou Mexique, participent aussi à l’alimentation du marché mondial. L’Europe, même si elle n’est pas tellement célèbre dans l’exploitation de l’or, dispose de gisements en Allemagne, en Espagne et en Suisse. L’exploration de la filière or a plus que jamais motivé les hommes qui ont découvert l’Amérique. C’est encore une motivation valable de nos jours pour les grandes industries ou les exploitants individuels pour faire le tour du monde et courir après les nouveaux gisements terrestres ou fluviaux. L’Inde est le plus grand consommateur d’or de la planète pour la fabrication de bijoux.

A la recherche des pépites

On peut localiser l’endroit où se cache l’or à l’aide d’un détecteur de métaux. Grâce aux avancées technologiques, la performance des satellites permet d’indiquer avec précision et en temps réel l’emplacement des gisements. Mais chose curieuse, des touristes en randonnée ont découvert sur leur chemin une pépite d’or d’une taille assez importante. Ceci dit, un endroit où l’on a découvert une pépite n’est pas forcément un gisement potentiel. L’or étant un élément précieux et rare, sa recherche demande beaucoup de persévérance et de patience. Cela nécessite également une certaine expérience dans la reconnaissance des endroits où il pourrait se concentrer. D’une manière générale, c’est dans les rivières qu’on le retrouve souvent mélangé avec les galets et les racines en profondeur. Les professionnels de l’extraction utilisent des matériels performants pour couvrir une plus grande surface d’exploration et gagner ainsi en vitesse et en volume. Les petits exploitants, faute de moyens, se résignent souvent à employer le mode de recherche traditionnel qui peut être fructueux et rentable.

L’or et l’économie mondiale

Depuis sa découverte, l’or a servi de monnaie d’échange. Plus tard, ce système a été officialisé et la monnaie utilisée a été faite en or. Actuellement, on retrouve encore ces pièces dans les grandes collections. Les réserves des banques centrales sont constituées en grande partie de lingots d’or. Etant donné leur rareté et leur valeur, les pépites d’or sont des objets de collection. Elles sont souvent exposées dans les musées, comme celle qui est exposée actuellement au musée d’histoire des Etats-Unis, qui mesure 15 cm de diamètre. La découverte de pépites d’or suscite la curiosité des amateurs et des professionnels, mais la plupart du temps, elles restent le patrimoine du pays où on les retrouve. Il arrive que l’État ou son propriétaire décide par la suite de les vendre au plus offrant. Le plus souvent, les pépites sont laissées dans l’Etat où on les a découvertes, tellement elles sont rares. Malgré les dépréciations monétaires, la valeur de l’or connaît toujours une croissance positive. Les pépites d’or constituent encore une importante réserve financière mondiale, d’autant plus qu’elles sont devenues des objets de collection.


Histoire de l’Or

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Publie par Goldy
Ecrit le 8th Jul 2011
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Categorie: Revue de presse Or
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6

Jul

Les rivières aurifères dans le monde

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L’or, ce métal de couleur jaune, a été découvert par les hommes des siècles avant la naissance du Christ.

C’est un élément précieux de forte densité et ayant une durée de vie très longue puisque les archéologues trouvent encore de nos jours des objets en or qui ont été fabriqués du temps des Pharaons.

L’or se trouve dans les rivières, mélangé avec le sable stocké dans le lit de ces rivières.

Localisation des rivières aurifères

Les rivières aurifères sont celles qu’on retrouve souvent dans les continents à importante concentration en cours d’eau.

On peut entre autres citer l’Amérique du Sud et l’Afrique, mais les Etats-Unis et l’Europe ne sont pas en reste.

Récemment, on a également publié les noms de plusieurs rivières aurifères en France. D’une manière générale, comme l’or est un matériau
lourd, il git dans le fond des rivières. Les gisements alluvionnaires concentrés en or se retrouvent dans les endroits où le courant est quasi-inexistant. L’or peut être également incrusté dans les rochers sur un cours d’eau et il est arrivé que des dépôts aient été trouvés sur les plages proches de l’embouchure d’une rivière qui se jette dans la mer.

L’exploitation de l’or dans les rivières aurifères

Cette activité se nomme l’orpaillage. Grâce au développement de la technologie, les orpailleurs disposent actuellement d’un matériel puissant qui permet d’accélérer le travail par l’utilisation d’une forte pression d’eau pour séparer rapidement les dépôts d’or en paillettes ou en pépites du sable auquel ils sont mélangés. La méthode traditionnelle, très utilisée malgré la technologie, consiste à recueillir de la boue du fond de la rivière avec une pelle. On verse ce mélange dans un tamis qu’on immerge dans l’eau pour éliminer les éléments légers. On enlève ensuite les déchets de racine et les graviers. On plonge le tamis dans l’eau calme pour ne pas en perdre le contenu et on le secoue pour séparer les éléments à différentes densités. On répète cette opération autant de fois jusqu’à ce que l’or devienne visible à l’œil nu. L’or étant le plus lourd, il reste normalement au fond du récipient. On le récupère finalement à l’aide d’une pissette.

Les avantages économiques de l’exploitation des rivières aurifères

L’exploitation de ces gisements naturels demande une importante mobilisation humaine pour la manipulation des outils de travail tels que la pelle et le tamis. Ces activités créent des emplois pour les riverains et peuvent améliorer leurs conditions de vie grâce aux revenus qu’ils en tirent. Par ailleurs, l’or est donc une ressource de valeur. Le prix de vente et les taxes qui s’y rapportent peuvent augmenter favorablement les ressources financières de la région ou du pays où il se trouve. Finalement, l’existence des rivières aurifères est un puissant levier pour les activités touristiques. Ainsi, les parcs protégés pourvus des rivières aurifères se multiplient pour accueillir et guider les touristes passionnés de la nature voulant découvrir le métier d’orpaillage comme activité de distraction.

Les dangers qui se rapportent à cette activité

Ces activités comportent des risques pour l’environnement. En effet, les méthodes d’extraction nécessitent parfois de creuser le lit des rivières. Cela peut perturber le passage de l’eau, abîmer les berges et favoriser l’érosion. D’autre part, étant donné le besoin massif en main-d’œuvre, l’exploitation humaine s’en trouve favorisée dans les régions pauvres car les ouvriers sont payés avec un salaire en dessous des normes établies. Les enfants seront également tentés de se mettre très tôt au travail. Cela peut perturber leur programme scolaire avec des impacts négatifs sur leur avenir. Le cas de la Guyane est souvent cité à cause d’une ruée vers l’or qui entraîne des conflits entre ouvriers. Finalement, les études techniques montrent que l’exercice de cette activité a des impacts néfastes sur la santé des hommes à cause des produits qu’on utilise lors de son traitement comme par exemple le recours au mercure pour obtenir de l’or de haute qualité. Vu le poids économique de l’activité d’orpaillage et la valeur sentimentale et historique associée à l’or, on ne peut complètement interdire l’exploitation de ces rivières aurifères. Toutefois, les exploitants doivent convenir des mesures à prendre pour faire face à ces problèmes et adopter un comportement responsable. Il est important de mettre en place une série de règlements qui régiraient les métiers ayant trait à l’environnement, le travail des enfants, la santé et les droits de l’homme.
Histoire de l’Or

 

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Publie par Goldy
Ecrit le 6th Jul 2011
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Categorie: Revue de presse Or
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10

Jun

Production d’or dans le monde

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Si l’on évalue la production totale de l’or depuis la première exploitation jusqu’à nos jours, on arriverait à près de 145 000 tonnes d’or exploitées. Il s’agit d’un montant énorme et cependant la production mondiale ne cesse d’augmenter malgré une certaine fluctuation de l’exploitation selon différentes périodes de notre ère. Quels sont donc les principaux pays producteurs d’or et quel est l’état de la production de l’or dans le monde ?

L’Afrique du Sud : principal pays producteur d’or dans le monde

L’Afrique du Sud fait partie des pays qui produisent le plus de ce métal précieux. Au début, lors de la découverte des différentes mines éparpillées un peu partout dans le pays, la production a atteint son paroxysme mais actuellement, l’état de ces mines ne permet plus d’obtenir autant de quantité qu’auparavant. En effet, si les mines qui ont résisté à plus de cent ans d’exploitation se situent pour la plupart autour de Johannesburg, à environ 100 m, elles se trouvent dans des conditions difficiles qui ne favorisent pas beaucoup l’extraction. Trop profondes et nécessitant un lourd chantier, leur exploitation reviendrait très chère et prendrait beaucoup de temps. Malgré tout cela, L’Afrique du Sud assure encore 25 % de la production mondiale de l’or avec environ 550 tonnes d’or exploitées par an.

Les Etats-Unis, qu’en est-il de la ruée vers l’or ?

Les Etats-Unis ne sont pas à négliger dans la production de métal précieux et surtout l’or, ils tiennent la seconde place quant à la quantité fournie annuellement sur le marché mondial. Si au temps de la ruée vers l’or et la découverte des mines situées en Californie, les Américains ont pu produire une quantité importante d’or, ce ne fut pas le cas vers les années 80. La frénésie des chercheurs s’est un peu émoussée et les mines étaient à leur épuisement. En 1995, les Etats-Unis reviendront en force avec à peu près 350 tonnes d’or fournies par an grâce aux nouvelles mines de Nevada. Cependant, le grand continent américain ne s’arrête pas aux Etats-Unis puisqu’il existe d’autres pays comme le Canada qui arrive à produire près de 150 tonnes d’or par an. Les grandes mines d’Ontario et du nord-ouest du Québec ne sont donc pas à négliger si l’on parle de production mondiale de l’or. Enfin, l’Amérique du Sud n’est pas en reste grâce au Brésil même si la production n’atteint pas une quantité importante, avec 75 tonnes par an, les mines de Mineracao Morro Velho ont placé l’Amérique du Sud dans le rang des grands producteurs d’or du monde.

Deux zones phares de la production mondiale : l’Australie et la Russie

Du point de vue historique, l’extraction de l’or a une place prépondérante en Russie. Du temps de Staline, certaines mines comme celle de l’Oural étaient au summum de leur production. La quantité fournie par la mine de l’Oural à elle seule était spectaculaire, malheureusement cette quantité est passée de 285 tonnes à 250 tonnes en l’espace de 2 ans, c’est-à-dire de 1989 à 1991. Aujourd’hui, ce sont les mines du Kazakhstan et d’Ouzbékistan qui sont les sources les plus actives de l’or russe, la vieille Oural a quant à elle, ne produit plus qu’une une centaine de tonnes d’or par an. Si nous mettons le cap sur l’Australie, nous découvrirons que le fer de lance de l’économie du pays est la production d’or. En effet, l’Australie arrive à produire près de 254 tonnes d’or par an, ce qui la propulse à la troisième place du rang mondial des grands producteurs.

La production mondiale de l’or, en perpétuel changement

Malgré l’existence de ces grands exploiteurs, la quantité produite mondialement chaque année n’est pas toujours constante. Il existe une période où la production a atteint son maximum : tel est le cas des années 70 à 2001 où la production a pu atteindre 2.600 tonnes. Au contraire, nous pouvons remarquer des périodes assez creuses comme de 1945 à 1975 où cette quantité n’a pas dépassé les 1.200 tonnes. En tout cas, l’on sait qu’il existe encore des réserves minières dans le monde et que pour les années à venir, nous pourrons encore profiter de l’existence de ces métaux précieux.
Histoire de l’Or

 

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Publie par Goldy
Ecrit le 10th Jun 2011
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Categorie: Revue de presse Or
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Profile
Depuis toujours l'or m'a fasciné, au début sous forme de bijoux bien evidement ;). Peu à peu il est devenu une passion et aujourd'hui un investissement maitrisé

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